UN FOUR ARLESIEN,ON EN PARLE, ON EN PARLE…

L’été 2009 étant là, lors de chaque repas dominical du mois de juillet, la même question revient, inexorablement :

Où met-on le four ?

J’ouvre une petite parenthèse concernant le repas du dimanche midi. En effet, dans notre vieille famille corrézienne, il est de tradition que les quatre générations de la famille se retrouvent autour de la table pour déguster :

  • poulet fermier / pommes de terre / cèpes
  • ou mique / petit salé
  • ou bien encore pieds de cochons (recette concoctée par notre mamie Léonie et dont Mado est l’héritière) / tourtous.

 pieds-de-cochons

 tourtous

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  …Ma femme, ma belle-soeur et ma belle-mère cuisinent  en « équipes spécialisées », les tourtous mis à part car ça, c’est mon domaine.

Notre mamie Léonie est donc elle aussi mise à contribution et, selon la saison, tout le monde raffole de son fameux (à tous les sens du terme) clafoutis et de sa non moins fameuse tarte aux pralines. Les gâteaux de Léonie, ça, c’est quelque chose !

 tarte aux pralines

 
Mais malgré ces succulents repas, nous n’oublions pas que ce qui compte le plus n’est pas SUR la table, mais AUTOUR de la table, si vous voyez ce que je veux dire…

Revenons à notre four.

Après plusieurs projets d’implantation, la décision est prise par mes deux filles, Delphine et Juliette, de rebâtir le four à proximité d’un puits en ardoise qui attend d’être rénové, à la place d’une cabane que j’ai démolie il y a un bon nombre d’années, (c’était une erreur, je m’en rends compte maintenant, l’ensemble aurait été plus complet).

implantation à côté du puits

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